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Nous accordons beaucoup trop d’attention à nos pensées et nous croyons beaucoup trop nos croyance

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Nous accordons beaucoup trop d’attention à nos pensées et nous croyons beaucoup trop nos croyances! Le mental est le vrai confinement dans notre tête.

L’ego adore quand on essaie de l’éliminer car alors il grossit : observons-le plutôt que de tenter de nous en débarrasser.

L’ego, le mental est ce que nous croyons qu’il est : si nous le croyons fort, il le sera, si nous le croyons anxieux, il le sera, si nous le croyons envahissant, il le sera. Mais si nous le croyons à notre service, au service de la Conscience, alors il le sera. Cessons de voir le mental comme un ennemi, il l’est seulement quand nous nous identifions à lui; en l’observant avec détachement, le mental se calme et se nettoie de lui-même.

Plus nous nous identifions, plus nous nous limitons.

Se définir, c’est se confiner. Nous souffrons à cause de l’idée que nous nous faisons de ce que nous sommes, limités à ce corps, à ce mental.

Quand nous nous identifions à notre mental, à nos pensées, à nos possessions, à notre travail, notre rôle ou quoi que ce soit d’autre, nous ne sommes alors qu’une fraction de ce que nous sommes vraiment et nous ne vivons qu’à l’ombre de notre mental.

Ne nous identifions pas à quoi que ce soit : dès que nous nous identifions, nous souffrons. Le pouvoir des choses et des autres ne réside pas dans les choses ni dans les personnes mais dans la perception que nous avons de ces choses et de ces personnes. Cette perception n’est qu’une pensée, et elle n’est pas vraie.

Le seul pouvoir réside en nous. Cessons d’être victimes de nos propres pensées. Chaque fois que nous souffrons, demandons-nous : « à quoi est-ce que je m’identifie en ce moment? Est-ce que cette pensée est vraie? » 

L’ego n’attaque que l’image que nous avons de nous-mêmes, pas notre véritable Soi qui est hors de sa portée.

L’ego attaque ce que nous ne sommes pas, pour que nous puissions enfin le voir, que nous nous en détachions et redécouvrions ce que nous sommes vraiment.

Tout ce sur quoi nous portons notre attention devient notre réalité. Focalisons notre attention sur notre être naturel, sur la Conscience que nous sommes, sur notre intérieur. Tant que nous nous identifions à ce qui se passe à l’extérieur et que nous y porterons toute notre attention, nous alimentons notre mental, nous nous identifions à lui et nous souffrons. Pourtant, ce qui est en nous est immensément plus grand que ce qui est devant nous.

Cessons d’être ce que nous ne sommes pas et soyons ce que nous sommes vraiment : il est plus que temps de laisser tomber nos masques et nos déguisements et d’assumer toute la Puissance de ce que nous sommes. 

Ne laissons pas notre vie être contrôlée ou déterminée par notre mental. Ne croyons pas toutes nos pensées ni notre mental.

En tout temps, nous pouvons choisir d’être libres… ou de rester emprisonnés. N’attendons plus un événement majeur ou ce qui nous poussera à choisir un fois rendus au bord du précipice. N’attendons pas la permission de notre ego pour nous libérer. Nous n’avons pas besoin de l’accord de notre mental pour quoi que ce soit.

Nous n’avons pas à changer le monde, nous n’avons qu’à rayonner de toute notre lumière pour tout illuminer. Nous sommes toujours libres d’être libres, car c’est ce que nous sommes de toute éternité. 

©Diane Gagnon Auteur coach

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Publié par Teddy Tanier

Passionné par la poésie et la littérature depuis tout petit j'ai toujours aimé écrire seul dans la nuit quand la journée s'éteint. Car cette atmosphère me transporte et me fait voyager, elle m'inspire et me rassure. On peut encore rêver. J'aime l'art et particulièrement les livres c'est pour cela qu'Inspirant me permet de présenter des auteurs connus et moins connus pour faire partager ma passion et rendre hommage aux grands écrivains ou philosophes.

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Ce texte est extrait du Livre du Voyage de Bernard Werber. « Il est cubique, titanesque, froid

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