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Trouver sa place, sans prendre la place..

Trouver sa place, sans prendre la place..

Être à sa place, sans être à la place..

C’est rayonner sans éteindre la lumière de l’autre ..

La fréquence d’amour est justesse, équilibre et Vérité .

En vibrant à cette fréquence , l’ego devient un allié du cœur, qui au lieu de vous faire tomber dans les peurs et la tourmente du mental, vous apporte toute la force de la confiance pour allumer votre essence divine et ainsi, en étant qui vous êtes vraiment, à votre juste place, vous laissez la place à tous afin qu’ils illuminent le monde à leurs tours ..

Frederique

Que faire lorsqu’on ne trouve pas sa place dans la vie ?

Ne pas se sentir à sa place est difficile : on se sent souvent incompris, inutile, seul (même si nous sommes entourés de gens) et impuissant, car on ne sait justement pas quoi faire pour trouver notre place.

Pour vous aider voici : L’histoire de l’avion

Imaginez que vous êtes un avion sur une piste de décollage. (Je sais, ça peut paraître bizarre.)
Imaginez vraiment que vous êtes un avion flamboyant neuf sur le point de décoller. (Si nécessaire, fermez les yeux et visualisez vraiment la scène avant de poursuivre.) Vous êtes à la fois l’avion et le pilote, comme si le pilote ne faisait qu’un avec l’avion.

Je vrombis, mes moteurs sifflent, et la piste de décollage me fait peur. Je me demande si je vais pouvoir décoller, car je me sens très lourd. Je pèse des tonnes.

Comme si le pilote lisait mes pensées, il me dit avec un sourire rempli d’empathie :

– Bien sûr que tu vas décoller. Tu es conçu exactement pour faire cela à ce moment. La seule question à te poser n’est pas « peux-tu voler ? » mais « le veux-tu vraiment  ?». Car une fois que tu pousses les gaz à fond et que tu vires les minuscules blocs qui retiennent tes roues, ça va t’accrocher au siège ! C’est hallucinant tu verras.

Et le pilote s’étouffa dans un rire de joie.

Avant de lui répondre, j’attendis quelques secondes qui me semblèrent une éternité. Je le regardais et attendais que son regard croise à nouveau le mien :

– Et ensuite, qu’est-ce que je fais une fois que j’ai décollé ?

– Lens, c’est la bonne question, car lorsque tu auras le courage de pousser la manette à fond, tu seras très vite en l’air. Tu devras choisir un cap, une destination, un but ou quelque chose qui y ressemble. Et la vérité, c’est que c’est probablement cela qui t’effraie le plus.

– Oui, j’ai peur de me tromper de destination. De ne pas trouver d’aéroport pour atterrir.

– Tu n’es pas seul. Je suis à tes côtés. Quand tu verras la Terre du ciel, tu sauras ce que tu dois faire. Pour le moment, le plus important est de décoller.

Et, reprenant son sourire là où il l’avait laissé auparavant, le pilote ajouta encore :

– Tu sais, il n’y a pas besoin d’un aéroport pour atterrir. Il existe tellement de façon de tomber et de reprendre de l’altitude. Ah et en fait, je m’appelle Koran.

Et après quelques secondes, Koran ajouta d’un ton grave :

– Lens, maintenant, si tu as envie de voir à quoi ressemble la vie vue du ciel, pousse la manette. Maintenant. Ne réfléchis pas.

– Sans vraiment comprendre ce que je faisais, ma main descendit et enfonça la manette. À fond. C’était un moment délirant. L’avion ne semblait faire qu’un avec moi. J’étais l’avion. Et, levant les mains pour montrer à Koran que je l’avais fait, je fis sans m’en rendre compte le signal pour virer les blocs qui retenaient le train atterrissage.

Et comme l’avion était conçu pour, il fit un énorme bond en avant en prenant de la vitesse. Tout s’accélérait, le paysage s’avançait contre moi à une allure incroyable. C’était à la fois effrayant et enivrant. Et, comme je l’avais fait des centaines de fois en simulation, j’appuyais un tout petit peu sur le manche à balai, ne croyant pas encore que cela serait suffisant pour incliner le nez de mon oiseau vers l’espace. Pourtant, l’impensable se produisit.

Le frottement des roues s’estompa et le calme revint, comme me l’avait promis Koran qui avait les yeux fermés. Il jouissait de ce moment qu’il aimait tant. Il ne rouvrit les yeux que lorsque l’avion émergea au-dessus des nuages qui dansaient dans la lumière dorée du coucher du soleil. En me montrant un rayon qui perçait un nuage, Koran me dit :

– Lens, où vas-tu maintenant ?

Et je me souvins encore comme si c’était hier de ce que je lui répondis :

– Cela n’a plus d’importance. Pour le moment.

Et mon visage dessina un spasme qui devint très rapidement un sourire comme je n’en avais jamais eu. C’était donc cela que voulait dire « lâcher-prise ». Je n’avais plus peur d’être qui j’étais.

Et vous ?

Dites-moi dans les commentaires…

  • ce que vous avez ressenti en lisant ce texte,
  • ce qui est vraiment important pour vous,
  • ce que vous allez-vous faire ou ajuster dans votre vie.

Merci de m’avoir lu jusqu’au bout. Partagez cet article si vous pensez qu’il peut apporter quelque chose à d’autres personnes.

Source : esprit-succes.com

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Publié par Teddy Tanier

Passionné par la poésie et la littérature depuis tout petit j'ai toujours aimé écrire seul dans la nuit quand la journée s'éteint. Car cette atmosphère me transporte et me fait voyager, elle m'inspire et me rassure. On peut encore rêver. J'aime l'art et particulièrement les livres c'est pour cela qu'Inspirant me permet de présenter des auteurs connus et moins connus pour faire partager ma passion et rendre hommage aux grands écrivains ou philosophes.

Un commentaire

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  1. ce que ressenti ? compréhension, peur et libération . Ce qui est important pour moi ? voler, me libérer sans perdre de temps , trop à faire encore … ? oser, décoller maintenant en faisant confiance au pilote 🙂
    merci cher ami pour ce texte

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