in

Les meilleurs citations de Marcel Pagnol

Partager sur les réseaux sociaux
meilleurs citations de Marcel Pagnol

Image crédit : Picxabay

Les meilleurs citations de Marcel Pagnol

Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants.

Marcel Pagnol:

La raison pour laquelle tant de gens trouvent qu’il est si difficile d’être heureux c’est qu’ils imaginent toujours le passé meilleur qu’il ne l’était, le présent pire qu’il n’est vraiment et le futur plus compliqué qu’il ne le sera.

Marcel Pagnol:

Celui qui est capable de ressentir la passion, c’est qu’il peut l’inspirer.

Marcel Pagnol :

L’Eau des collines, tome 1 : Jean de Florette de Marcel Pagnol
-Et où est-il ?

-Au cimetière.

-Et qu’est-ce qu’il est allé faire là-bas ?

-Il est allé faire le mort.

Marcel Pagnol:

Le rire est un cadeau que Dieu a fait aux hommes pour les consoler d’être intelligents !

Souvenirs d’enfance, tome 2 : Le château de ma mère de Marcel Pagnol
Telle est la vie des hommes. Quelques joies, très vite effacées par d’inoubliables chagrins. Il n’est pas nécessaire de le dire aux enfants.

Marcel Pagnol:

L’ambition, c’est la richesse des pauvres.

Marcel Pagnol:

Souvenirs d’enfance, Tome 1 : La Gloire de mon père de Marcel Pagnol
De plus, je découvris ce jour-là que les grandes personnes savaient mentir aussi bien que moi, et il me sembla que je n’étais plus en sécurité parmi elles.

Fanny de Marcel Pagnol

CÉSAR : Mais s’il veut naviguer, qu’il navigue, bon Dieu ! Qu’il navigue où il voudra, mais pas sur l’eau !

ESCARTEFIGUE : Mais alors, où veux-tu qu’il navigue ?

CÉSAR : Je veux dire : pas sur la mer. Qu’il navigue comme toi, tiens ! sur le Vieux-Port. Ou sur les rivières, ou sur les étangs, ou… et puis nulle part, sacré nom de Dieu ! Est-ce qu’on a besoin de naviguer pour vivre ? Est-ce que M. Panisse navigue ? Non, pas si bête ! Il fait les voiles, lui ! Il fait les voiles pour que le vent emporte les enfants des autres !

Acte I, Premier tableau, Scène 9.

Marcel Pagnol :

Tout le monde pensait que c’était impossible.

Un imbécile est venu qui ne le savait pas, et qui l’a fait.

BIOGRAPHIE & INFORMATIONS

Nationalité : France
Né(e) à : Aubagne (Bouches-du-Rhône) , le 28/02/1895
Mort(e) à : Paris , le 18/04/1974
Biographie :

Marcel Pagnol est un écrivain, dramaturge, cinéaste et producteur français.

Fils d’instituteur, il fait ses études au lycée Thiers de Marseille, puis obtient sa licence d’anglais et devient professeur à Aix-en-Provence; il enseigne ensuite à Paris, au lycée Condorcet.

Il se découvre très jeune une passion pour l’écriture dramatique, et devait publier dès 1922 un drame en vers: « Catulle ». Il fonde également la revue Fortunio, ancêtre des Cahiers du Sud. Après deux pièces écrites en collaboration avec Paul Nivoix, « Tonton » et « Les Marchands de Gloire », qui sont représentées à Paris, Marcel Pagnol atteint au succès avec les deux premières pièces qu’il compose seul: « Jazz » (1927), et surtout « Topaze » (1928), l’une des pièces les plus constamment reprises du répertoire contemporain.

La suite de sa carrière devait se partager entre le théâtre et le cinéma, ce qui allait faire de lui le maître du « théâtre filmé », grâce en particulier à sa célèbre trilogie marseillaise : « Marius », « Fanny » et « César », écrite pour la scène avant qu’il l’adapte pour l’écran. Au septième art, il donne entre autres : « Merlusse », « Cigalon », « Le Schpountz », « La Fille du puisatier », « La Belle meunière », « Manon des sources », ainsi que plusieurs films inspirés de l’œuvre d’un autre provençal, Jean Giono : « Angèle », « Regain », « La Femme du boulanger ». Il est servi par les plus grands interprètes de l’époque : Louis Jouvet, Raimu, Pierre Fresnay, Fernandel.

Marcel Pagnol a su faire revivre dans son œuvre une Provence vivante, dépeignant entre rire et émotion l’âme et les mœurs méridionales. Son talent, qui dépassait les frontières, l’avait immortalisé dès avant son élection à l’Académie, à quarante-sept ans seulement, le 4 avril 1946, par 15 voix au fauteuil de Maurice Donnay, qui avait occupé son siège de 1907 à 1945. Sa réception, le 27 mars 1947, par Jérôme Tharaud, est filmée, ce qui constituait une première dans l’histoire de l’Académie française.

Après 1956, il s’éloigne du cinéma et du théâtre, et entreprend la rédaction de ses « Souvenirs d’enfance » avec notamment « La Gloire de mon père » et « Le Château de ma mère ».

François Mauriac a tracé de lui, dans son Bloc-notes, un portrait amical : « Pagnol, le seul à ne pas avoir de socle. Il semble s’être glissé dans cette antichambre de l’éternité en passant par la fenêtre, le seul qui sente l’air du dehors ».

Source : www.academie-francaise.fr,tombes-celebrites.com

Livres conseillés, cliquez sur l’image :

Publié par Laurence Baïdemir

Je suis toujours restée aussi passionnée par la lecture, et j'ai alors décidé de créer le site Inspirant en janvier 2017, afin d'inspirer les autres avec des œuvres très connues et d'autres qui méritent pleinement de l'être. J'espère que vous éprouverez le même plaisir que moi en les lisant.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Marcus Malte

Marcus Malte : Le cœur, fiston. Pas de muscle plus tendre. Une éponge. Il pourrait tout absorber

Les égrégores : Si vous manifestez contre la guerre ne m’appelez pas