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Les plus belles citations d’Honoré de Balzac

Honoré de Balzac

Image crédit : Pixabay

Les citations d’Honoré de Balzac

Les belles âmes arrivent difficilement à croire au mal, à l’ingratitude, il leur faut de rudes leçons avant de reconnaître l’étendue de la corruption humaine.

_ Honoré de Balzac

Rien ne grise comme le vin du malheur.
Honoré de Balzac ; Splendeurs et misères des courtisanes (1838)

Une femme est une Cadignan : Elle n’aurait ni vertus, ni vices, ni fortune, ni jeunesse, ce serait toujours une Cadignan. Une Cadignan ? c’est comme un préjugé, toujours riche et vivant.
Honoré de Balzac ; Madame Firmiani (1832)

Nous sommes tous des planches lithographiques dont une infinité de copies se tirent par la médisance.
Honoré de Balzac ; Madame Firmiani (1832)

Les vocations manquées déteignent sur toute l’existence.
Honoré de Balzac ; La Maison Nucingen (1838)

Les fortunes détruites sont les chevrons des courtisanes.
Honoré de Balzac ; Splendeurs et misères des courtisanes (1838)

L’amour est la seule passion qui ne souffre ni passé ni avenir.
Honoré de Balzac ; Les Chouans (1835)

Le hasard est le résultat d’une immense équation dont nous ne connaissons pas toutes les racines.
Honoré de Balzac ; Z. Marcas, le 25 juillet 1840.

On ne peut pas ruiner un homme qui ne possède rien.
Honoré de Balzac ; Gobseck (1830)

Beaucoup d’appelés et peu d’élus est une loi de la Cité aussi bien que du Ciel.
Honoré de Balzac ; Les employés (1838)

L’amour a son instinct, il sait trouver le chemin du cœur.
Honoré de Balzac ; La femme de trente ans (1834)

Tout amour durable commence par de rêveuses méditations.
Honoré de Balzac ; L’enfant maudit (1831)

L’amour est comme la mer, qui vue superficiellement ou à la hâte, est accusée de monotonie par les âmes vulgaires. Tandis que certains êtres privilégiés passent leur vie à l’admirer en y trouvant sans cesse de changeants phénomènes qui les ravissent.
Honoré de Balzac ; La Vendetta (1830)

L’amour n’est pas seulement un sentiment, il est aussi un art. Quelque mot simple, une précaution, un rien, révèle à une femme le grand et sublime artiste qui peut toucher son cœur sans le flétrir.
Honoré de Balzac ; La recherche de l’absolu (1834)

Pour un homme passionné, toute femme vaut ce qu’elle lui coûte.
Honoré de Balzac ; Ursule Mirouët (1842)

L’amour a ses intuitions, comme le génie a les siennes.
Honoré de Balzac ; Le lys dans la vallée (1836)

Il est dans toute figure humaine une place où les secrets mouvements du cœur se trahissent.
Honoré de Balzac ; Béatrix (1839)

Il se rencontre parfois entre deux ennemis la même lucidité de raison, la même puissance de vue intellectuelle qu’entre deux amants qui lisent dans l’âme l’un de l’autre.
Honoré de Balzac ; Gobseck (1830)

Il est des phrases épigrammatiques qui font un plaisir passager, et des blessures de longue durée.
Honoré de Balzac ; Autre étude de femme (1839-1842)

La paresse pleine de suffisance ne mène à n’être qu’un sot.
Honoré de Balzac ; Le médecin de campagne (1833)

La vie des oisifs est la seule qui coûte cher, c’est un vol social que de consommer sans produire.
Honoré de Balzac ; Le médecin de campagne (1833)

À mesure que l’on monte en haut de la société, il s’y trouve autant de boue qu’il y en a par le bas ; seulement elle s’y durcit et se dore.
Honoré de Balzac ; La duchesse de Langeais (1834)

En amitié, les fautes sont des crimes.
Honoré de Balzac ; Vautrin (1840)

La vie sociale est comme la terre, elle nous donne en raison de nos efforts.
Honoré de Balzac ; L’envers de l’histoire contemporaine (1848)

Le véritable amour est un océan de sensations éternelles et toujours neuves où l’on se plonge avec délice.
Honoré de Balzac ; Louis Lambert (1832)

Le premier amour est une seconde enfance jetée à travers nos jours de peine et de labeur.
Honoré de Balzac ; Le médecin de campagne (1833)

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Publié par Teddy Tanier

Passionné par la poésie et la littérature depuis tout petit j'ai toujours aimé écrire seul dans la nuit quand la journée s'éteint. Car cette atmosphère me transporte et me fait voyager, elle m'inspire et me rassure. On peut encore rêver. J'aime l'art et particulièrement les livres c'est pour cela qu'Inspirant me permet de présenter des auteurs connus et moins connus pour faire partager ma passion et rendre hommage aux grands écrivains ou philosophes.

2 Commentaires

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  1. Pourquoi toujours penser à la chute lorsqu’on avance debout ?
    On peut laisser de côté la comédie humaine sans l’ignorer pour garder joie et positivité.
    Ce n’est que mon modeste équilibre perso.

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